Label

Catégories

  • IHSANE

    Ihsane

    I H S A N E 


    BIOGRAPHIE

  • ZOOLIYA

    Deby 1


    BIOGRAPHIE


    Déborah Boyer, dite « Zooliya » est née le 13 avril 1998 à Saint-Pierre sur l’île de la Réunion de parents musiciens et sculpteurs.

    Zooliya baigne dans le monde artistique depuis sa plus tendre enfance.

    Marquée par les empreintes de la musique très présente dans la famille, elle se voit imprégnée par cette dernière et y découvre une source formidable d’inspiration.


    En 2012, à l’âge de 14 ans, elle suit son cursus scolaire et intègrera en parallèle le groupe de son père ZOOL (Hard rock frappadingue depuis 1994) en tant que guitariste rythmique et

    choriste/kayamb (instrument traditionnel de La Réunion) durant 5 ans. C’est avec ZOOL qu’elle découvrira le plaisir de la scène et le métier d’Artiste Musicien. Elle aura l’occasion de faire une quarantaine de dates, dont les plus marquantes, en 2013 à Bras-Panon Fête de la Musique, en 2014 O’récréateur, en 2015 Manapany Surf Festival, en 2016 Festival La Nuit Rock. Avec son groupe, elle enregistrera un Maxi CD (4 titres) et enchaînera sur le Clip « Samedi Bal ».


    En 2014, Zooliya poursuit ses années d’études au lycée en Littéraire Musique. Le cadre scolaire ne correspond pas à ses attentes.

    Cette période devient déterminante quant à ses choix futurs.

    En 2015, à la demande du Docteur en histoire de l’université de La Réunion Monsieur Prosper Eve maître de conférences du colloque international, en hommage à Auguste LACAUSSADE

    (Poète, humaniste Français 1815-1897), Zooliya mettra en musique un texte écrit par l’association « Les amis d’Auguste LACAUSSADE » et l’interprétera lors de l’inauguration de la

    stèle du buste du poète à la médiathèque de Saint-André.


    Vers la fin 2016, alors que le groupe ZOOL se dissout après 25 ans, elle poursuit cette aventure avec divers groupes locaux. L’année suivante elle devient volontaire stagiaire au RSMA

    (Régiment Service Militaire Adapté) puis quitte l’île de la Réunion pour s’engager dans l’armée de l’air sur Villacoublay (PARIS). L’institution militaire convient temporairement à Zooliya car elle est vite rattrapée par ses vocations musicales. Elle se réoriente après 3 années de service militaire vers ce dont elle aime plus que tout : la Musique.


    En 2019, elle intègrera le CFPM « Centre de Formation Professionnel Musique », où elle évoluera dans un milieu professionnel et pluriculturel, cette expérience enrichissante déterminera son objectif de faire de la musique son métier. Elle fera la rencontre de Philippe RZEPKA qui deviendra son producteur et lui proposera de se produire à l’occasion du téléthon. Elle

    composera et interprétera « Identité Volée » en hommage aux Enfants dit « de la Creuse » et bien d’autres titres.


    C’est à cette période que né un sentiment viscéral, cette parcelle de l’histoire qu’elle a vécu dans ZOOL est très importante car encore dans le ventre de sa mère, elle « assiste » aux concerts du groupe en 1998 et l’intègre par la suite en 2012.

    Son souhait est d’honorer ce groupe qu’elle a tant aimé, elle s’inspire du nom du groupe en le féminisant « ZOOLIYA ».

    En décembre 2020, elle officialisera son nom de scène avec la sortie de son premier clip « Monde Artificiel » dont elle est auteure/compositrice et interprète.

    Dans ses textes, l’artiste met l’accent sur les injustices, l’impact social, la liberté et la résistance.

     

  • L'ORDINAIRE

    Lordinaire

    L'O R D I N A I R E


    BIOGRAPHIE

     

    L’Ordinaire est un rappeur. Il est né en 1991 à Challans en Vendée. Il est principalement auteur et interprète. Il commence l’écriture de texte au milieu des années 2000 lorsqu’il découvre  le mouvement hip hop vers 2005-2006. Né d’un père inconnu et d’une mère qui le bat, il sera placé en foyer de jeune pendant 8 mois avant d’être placé en famille d’accueil où il restera pendant 11 ans. Il commencera l’écriture de texte de rap après une suggestion de sa famille d’accueil qui lui dira d’écrire sa vie pour ne pas perdre la tête, de par sa nature réservée et introspective. C’est  à Nantes qu’il fera la connaissance de plusieurs personnes qui l’amèneront à faire quelque scène ouvert très ciblé par des thèmes tels que le droit des enfants, la discrimination de la couleur, du département… C’est aussi à Nantes qu’il fondra le groupe Archétype avec un autre artiste. Les projets différents ce groupe tiendra 3 ans avant d’arrêter son aventure.  Puis il rencontre Nina Kibuanda lors de la préparation d’une mise en scène pour le festival Tissé Métisse (qu’il fera 3 fois) qui lui présentera un beatmaker du nom de Mastory. C’est cet artiste qui lui apprendra à caler son écriture sur la musique et d’enlever les insultes de son vocabulaire textuel. S’ensuivra une collaboration avec Remix Village pour la réalisation d’un CD 8 titres sous son premier nom de scène « Le TroYen » qui sera pressé en peu d’exemplaire mais pas commercialisé car il trouvera que la qualité laisse à désirer. En 2015,  il décide de stopper les études après l’obtention d’une licence Staps « Entrainement Sportif » et une première année de master ratée, pour aller à Paris pour réaliser son projet dans la musique. Arrivé sur place on lui intimera de changer de nom de scène c’est ainsi qu’il choisira « L’Ordinaire ».

    L’Ordinaire est un rappeur dit conscient. Son concept est très simple c’est de ressembler à tout le monde donc « d’être normal ».Son écriture est dénuée d’insulte en tout genre et s’attache à l’emploi de la langue française dans ses lettres de noblesse. Il s’attache à transmettre des émotions par la richesse de son écriture. Son personnage scénique n’est pas un rôle puisqu’il reflète le personnage réel dans presque tous les postulats. La caractéristique de son personnage et de toujours apparaitre en chemise et veste de costume.

     

    En septembre 2016, il prend contact avec le label indépendant New Time Song pour réaliser un premier projet, qu’il finira en avril 2017. Ce projet s’intitulera « Briser la Glace » et comportera 18 titres. Ce projet sortira en format digital sur toutes les plateformes de téléchargement le 18 Mai 2018. Cet album est comme l’ouverture d’une porte sur le monde est son univers tantôt mélancolique tantôt joyeux comme la vie dans tous ses aspects quotidiens.

     

       Pour mettre certain titre de ce projet en image l’Ordinaire prend contact avec la structure Black Lossa Vision en septembre 2017. S’en suivra quatre clip vidéo : « Ah Argh » « Qui es tu pour me juger » « Briser la Glace » et « Faire un Tour » ainsi que deux freestyles « Numéro d’une illusion » et « Jouer du Pipeau ». Chacun de ses clips dépasseront les 1000 vues sur Youtube et les freestyles 200.

     

    La suite de l’aventure sera de monter sur les différentes scènes parisiennes pour défendre le projet et se faire un peu plus connaitre, tout en faisant une série de freestyle qui aboutiront par un projet.

  • THIERRY CHATEL

    Thierry

    T H I E R R Y  C H A T E L

     


     

    BIOGRAPHIE

    « En soixante quatre, au Brésil,

    Au pouvoir les militaires,

    Cages de fers pour les civils

    Hostiles au régime totalitaire. »

    « Non, non rien n’a changé. » 1984

    1964, année de sa naissance, plus d’un demi siècle d’histoire qu’il raconte, conte et chante.

     

    Dans le milieu du spectacle depuis l’âge de 10 ans, théâtre, danse en amateur dans la troupe familiale, à 14 ans, avec ses frères, il écume les bals populaires avec leur « disco-mobile », puis fait de la « radio locale » entre 1985 et 1986.

    C’est aussi à cet époque qu’il fréquente « la Maisons des Arts » d’Évreux, dans les ateliers de photo-vidéo, dessin, peinture et modèle vivant.

     

    « Voici venu le temps des premières bêtises.

    Quand à l’école communale, il fait l’école buissonnière. »

    « Voici venu le temps » 1985

    L’école ne lui laissera pas un souvenir impérissable, il la quittera sans le Bac. Il commence la guitare, à l’âge de 15 ans. Ses premières compositions (texte et musique) voient le jour, sur les pelouses du lycée, en 1981.

     

    De petits boulots en postes à responsabilités, salarié, entrepreneur, consultant, formateur, chômeur, étudiant, sa vie professionnelle est chaotique, tout en œuvrant dans des associations. Il obtiendra un Master, par le biais de la formation continue.

    Mais la musique, la création artistique, restent toujours en filigrane. Au gré des demandes, des opportunités, il donne des concerts dans les bars, les ehpads, crée des événements, des festivals où il intervient en tant qu’artiste, Ingé-son ou organisateur.

     

    Ses enfants volants de leurs propres ailes, et après avoir passé 25 ans de sa vie à aider les autres au sein d’associations de défense des droits, il décide en 2018 de se consacrer uniquement au monde artistique. Il décide, enfin, de s’aider « lui ».

     

    « Ainsi soit-il, je remercie le ciel,

      Instant sublime, vision de rêve,

      Ma bouche se pose sur ton sein. Ma main parcourt ton corps sans trêve.

      Excitation, je me sens tout fébrile. »

    « Je suis comme un môme » 1992

    Acrostiche, un de ses styles d’écriture, mais pas le seul. Vers irréguliers ou constructions mathématiques élaborées, il ne se laisse pas enfermer dans un seul style ou univers. Textes humoristiques ou graves sur des sujets de société, la Mort, l’Amour ou laissant son esprit divaguer, écrire sur tout ou sur rien , juste jouer avec les mots, leurs sens ou contresens.

    Entre prose ou poésie, s’insinuent des mélodies couleur bossa, teintées de blues, ambiances jazzy ou ballades folk.

     

    « Métaphore d’une image fantasmagorique, écrite de la plume pelliculaire d’un chorégraphe, concepteur de cette peinture à l’huile, essence musicale de son moteur vital. »

    « Aberrations » 1984

    Artiste multiforme délaissant la plume pour le pinceau ou le fusain, délaissant les mots pour coucher sur papier argentique ses pensées, puis retrouver la magie des mots, la musicalité des vers et égrainer les notes de musique, ainsi laissant germer une nouvelle mélodie. Être libre de créer, tel est son credo.

     

    « Une quinte augmentée,

    La clé de sol nous envie.

    Au ciel septième mineure,

    Neuvième… l’infini. »

    « Kind of blue » 2009